Titre : |
Faut-il avoir peur de l'évaluation ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Charles Hadji, Auteur |
Mention d'édition : |
1ère édition |
Editeur : |
Bruxelles : De Boeck |
Année de publication : |
2012 |
Collection : |
Pédagogies en développement, ISSN 0777-5245 |
Importance : |
1 vol. (317 p.) |
Présentation : |
ill. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-8041-6873-5 |
Note générale : |
Bibliographie p. 291-297. - Index p. 299-306 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
évaluation de la formation évaluation des personnels du système éducatif évaluation du système éducatif système d'évaluation analyse des pratiques évaluation des apprenants |
Index. décimale : |
37.01 Théorie de l'éducation. Politique de l'éducation |
Résumé : |
On constate actuellement une extension du domaine de l’évaluation. Cette fièvre évaluative ne serait-elle pas le symptôme d’une maladie redoutable ? L’évaluation n’est-elle pas, à l’heure du marché roi, condamnée à devenir une calamité sociale ?
Ce qui est en cause est sa légitimité même, en premier lieu du point de vue méthodologique, en second lieu du point de vue social et éthique. Après avoir étudié six cas concrets, particulièrement significatifs, cet ouvrage s’interroge sur la possibilité d’évaluer aujourd’hui "à bon escient", c’est-à-dire en gardant raison. En s’interrogeant à la fois sur l’essence, et sur le sens, de la pratique évaluative, cette quête du "bon usage" met d’abord en évidence trois grands impératifs d’ordre méthodologique : respecter l’essence de l’activité ; s’inscrire dans un questionnement directeur ; ne pas sombrer dans la religion du chiffre. Elle jette ensuite les bases d’une évaluation qui serait à la fois "démocratique", dans ses usages sociaux et éthique, dans son souci de respecter la dignité humaine. Elle s’interroge, pour conclure, sur la possibilité pour l’évaluation d’échapper à la soumission idéologique. |
Note de contenu : |
De l’évaluation des élèves à celle des établissements d’enseignement: le danger de la confusion des genres ; Les soubresauts de l’évaluation des enseignants, et le danger de l’oubli des questions ; Le développement des pratiques d’évaluation des universités, et le danger de la soumission idéologique ; La sacralisation du baccalauréat, et le danger de la fétichisation d’un outil ; Les incertitudes et les errements des concours de recrutement, et le danger du gigantisme simplificateur et réducteur ; La pression des notes et de la réussite, et le danger de l’engrenage pervers ; Respecter les fondamentaux de l’activité évaluative ; Ne jamais perdre de vue le questionnement qui donne sens à l’évaluation ; Ne pas succomber à la religion du chiffre ; Evaluer à des fins raisonnables: le problème de la légitimité sociale de l’évaluation ; Evaluer en ayant le souci de la Valeur: le problème de la légitimité éthique de l’évaluation ; L’évaluation peut-elle échapper à la servilité ? |
Permalink : |
http://catalogue.iesp.be/index.php?lvl=notice_display&id=17709 |
Faut-il avoir peur de l'évaluation ? [texte imprimé] / Charles Hadji, Auteur . - 1ère édition . - Bruxelles : De Boeck, 2012 . - 1 vol. (317 p.) : ill.. - ( Pédagogies en développement, ISSN 0777-5245) . ISBN : 978-2-8041-6873-5 Bibliographie p. 291-297. - Index p. 299-306 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
évaluation de la formation évaluation des personnels du système éducatif évaluation du système éducatif système d'évaluation analyse des pratiques évaluation des apprenants |
Index. décimale : |
37.01 Théorie de l'éducation. Politique de l'éducation |
Résumé : |
On constate actuellement une extension du domaine de l’évaluation. Cette fièvre évaluative ne serait-elle pas le symptôme d’une maladie redoutable ? L’évaluation n’est-elle pas, à l’heure du marché roi, condamnée à devenir une calamité sociale ?
Ce qui est en cause est sa légitimité même, en premier lieu du point de vue méthodologique, en second lieu du point de vue social et éthique. Après avoir étudié six cas concrets, particulièrement significatifs, cet ouvrage s’interroge sur la possibilité d’évaluer aujourd’hui "à bon escient", c’est-à-dire en gardant raison. En s’interrogeant à la fois sur l’essence, et sur le sens, de la pratique évaluative, cette quête du "bon usage" met d’abord en évidence trois grands impératifs d’ordre méthodologique : respecter l’essence de l’activité ; s’inscrire dans un questionnement directeur ; ne pas sombrer dans la religion du chiffre. Elle jette ensuite les bases d’une évaluation qui serait à la fois "démocratique", dans ses usages sociaux et éthique, dans son souci de respecter la dignité humaine. Elle s’interroge, pour conclure, sur la possibilité pour l’évaluation d’échapper à la soumission idéologique. |
Note de contenu : |
De l’évaluation des élèves à celle des établissements d’enseignement: le danger de la confusion des genres ; Les soubresauts de l’évaluation des enseignants, et le danger de l’oubli des questions ; Le développement des pratiques d’évaluation des universités, et le danger de la soumission idéologique ; La sacralisation du baccalauréat, et le danger de la fétichisation d’un outil ; Les incertitudes et les errements des concours de recrutement, et le danger du gigantisme simplificateur et réducteur ; La pression des notes et de la réussite, et le danger de l’engrenage pervers ; Respecter les fondamentaux de l’activité évaluative ; Ne jamais perdre de vue le questionnement qui donne sens à l’évaluation ; Ne pas succomber à la religion du chiffre ; Evaluer à des fins raisonnables: le problème de la légitimité sociale de l’évaluation ; Evaluer en ayant le souci de la Valeur: le problème de la légitimité éthique de l’évaluation ; L’évaluation peut-elle échapper à la servilité ? |
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Hadji, Charles (2012). Faut-il avoir peur de l'évaluation ? (1ère édition). Bruxelles : De Boeck.
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