| Titre : |
Nouvelle histoire de Belgique : 1918-1939 : la démocratie rêvée, bridée et bafouée |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Emmanuel Gerard, Auteur ; Frederik Verleden, Collaborateur ; Anne-Laure Vignaux, Traducteur |
| Editeur : |
Le Cri |
| Année de publication : |
2010 |
| Collection : |
Histoire |
| Importance : |
1 vol. (281 p.) |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87106-546-3 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
Belgique |
| Index. décimale : |
94(493) Histoire de la Belgique |
| Résumé : |
Ce volume consacré à la période d’entre-deux-guerres, traite de la démocratisation rapide de la politique belge après la Première Guerre mondiale, de la crise parlementaire des années trente, conséquence d’une tentation autoritaire présente dans toute l’Europe, de la dépression économique et de l’intégration problématique des travailleurs dans le système politique. L’auteur s’intéresse également à la nouvelle culture politique qui se met en place après la guerre, aux changements affectant le paysage des partis, aux relations entre mondes politique et financier, à l’impact de la politique étrangère et militaire et, enfin, au rôle de la monarchie.
Il est difficile de jeter sur cette période un regard impartial. Le souvenir laissé par l’interbellum en général et ses dix dernières années en particulier est sombre. En 1918, beaucoup voulaient en revenir à la Belle Époque, mais en 1945, personne ne souhaite retourner aux années trente. Dans la mémoire collective, l’interbellum représente une période de crise. Cette impression tient en grande partie à l’association presque automatique des années trente au fascisme et à l’issue funeste de cette décennie. Elle ne correspond toutefois pas complètement à la réalité : un large éventail de jeunes, et pas seulement des fascistes, veulent introduire une "nouvelle ère" et poursuivront après la guerre sur cet élan rénovateur. Si l’on regarde l’histoire de façon pragmatique, on doit constater que beaucoup de réformes de la période de la Libération trouvent leur origine dans le creuset et le laboratoire de pensée des années trente. |
| Note de contenu : |
Lophem ; Les frontières de la patrie ; Quel avenir pour l'"Union sacrée"? ; Lophem et le néo-unionisme ; Détente internationale et rétablissement économique ; Les limites de la démocratie ; Des mondes séparés: l'organisation politique, sociale et syndicale ; La nation belge divisée ; Des lignes maîtresses européennes pour une politique belge ; Chômage, déflation et pouvoirs spéciaux ; L'ordre nouveau: la démocratie parlementaire sur la défensive ; Redressement économique et agitation politique ; L'impasse ; Epilogue |
| Permalink : |
http://catalogue.iesp.be/index.php?lvl=notice_display&id=17165 |
Nouvelle histoire de Belgique : 1918-1939 : la démocratie rêvée, bridée et bafouée [texte imprimé] / Emmanuel Gerard, Auteur ; Frederik Verleden, Collaborateur ; Anne-Laure Vignaux, Traducteur . - Le Cri, 2010 . - 1 vol. (281 p.). - ( Histoire) . ISBN : 978-2-87106-546-3 Langues : Français ( fre)
| Mots-clés : |
Belgique |
| Index. décimale : |
94(493) Histoire de la Belgique |
| Résumé : |
Ce volume consacré à la période d’entre-deux-guerres, traite de la démocratisation rapide de la politique belge après la Première Guerre mondiale, de la crise parlementaire des années trente, conséquence d’une tentation autoritaire présente dans toute l’Europe, de la dépression économique et de l’intégration problématique des travailleurs dans le système politique. L’auteur s’intéresse également à la nouvelle culture politique qui se met en place après la guerre, aux changements affectant le paysage des partis, aux relations entre mondes politique et financier, à l’impact de la politique étrangère et militaire et, enfin, au rôle de la monarchie.
Il est difficile de jeter sur cette période un regard impartial. Le souvenir laissé par l’interbellum en général et ses dix dernières années en particulier est sombre. En 1918, beaucoup voulaient en revenir à la Belle Époque, mais en 1945, personne ne souhaite retourner aux années trente. Dans la mémoire collective, l’interbellum représente une période de crise. Cette impression tient en grande partie à l’association presque automatique des années trente au fascisme et à l’issue funeste de cette décennie. Elle ne correspond toutefois pas complètement à la réalité : un large éventail de jeunes, et pas seulement des fascistes, veulent introduire une "nouvelle ère" et poursuivront après la guerre sur cet élan rénovateur. Si l’on regarde l’histoire de façon pragmatique, on doit constater que beaucoup de réformes de la période de la Libération trouvent leur origine dans le creuset et le laboratoire de pensée des années trente. |
| Note de contenu : |
Lophem ; Les frontières de la patrie ; Quel avenir pour l'"Union sacrée"? ; Lophem et le néo-unionisme ; Détente internationale et rétablissement économique ; Les limites de la démocratie ; Des mondes séparés: l'organisation politique, sociale et syndicale ; La nation belge divisée ; Des lignes maîtresses européennes pour une politique belge ; Chômage, déflation et pouvoirs spéciaux ; L'ordre nouveau: la démocratie parlementaire sur la défensive ; Redressement économique et agitation politique ; L'impasse ; Epilogue |
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Gerard, Emmanuel, Verleden, Frederik, Vignaux, Anne-Laure (2010). Nouvelle histoire de Belgique : 1918-1939 : la démocratie rêvée, bridée et bafouée. [S.l.] : Le Cri.
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Nouvelle histoire de Belgique : 1918-1939 : la démocratie rêvée, bridée et bafouée
